Bref, je vous le concède volontiers, je vous désire comme proie, mais je vous adore en chasseresse. Et si je fomente un piège, ce n'est ni pour vous blesser, ni vous tuer, ni vous garder prisonnière. Mais vous manger, oui. Vous dévorer, vous boire, me repaître de la saveur de votre chair et du miel de vos philtres, afin d'en conserver le souvenir sur mon palais et dans ma mémoire. Sachant que plus la traque est longue et hasardeuse, plus elle exacerbe le plaisir, la frustration elle-même en devenant suave. » Surgat<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

 

Trois petits cochons et puis s'en vont

un si font pendu au plafond

 

Y a pas de début à cette histoire, même pas de mise en bouche

 

Cupidon a forcé un peu sur la boisson

 

Y'en a marre De
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Prendre des kilos, à trop manger de chocolat
<o:p> </o:p>Du  coeur  qui fait l'mouchard

De la tête au cœur, y a plus de saisons

 

 

<o:p>Y'en a marre </o:p><o:p>
<o:p> </o:p>Tu dégoulines plein coeur
Cœurs capricieux, cœur rancunier</o:p><o:p>

 

 

<o:p>Du coeur aux genoux, n'y a pas d'interdictions

</o:p><o:p>

 

 

 

S'apitoyer sur son sort
On récolte ce que l'on sème<o:p></o:p> 

 

Faut il encore que la semence soit bonne !

</o:p>

 

</o:p>

 Qu'est-ce que j'ai bien pu faire de cette deuxième chaussette?

 

 

Des genoux aux chevilles

 

<o:p>

J'ai sauté le coq pour me taper l'âne

 

 

<o:p> </o:p><o:p>Fait pas ta mauvaise tête
La vie est un enfer

C'est un bouquet sans fleur

 

 

<o:p>

Arrête  et tire la bobinette

 

 

<o:p>

Agir avec diplomatie

Comme un vendeur en accroche cœur

 

<o:p>La porte a claqué sur ton visage du petit matin

On s'attend à voir ce que l'on attend plus

 

<o:p>Y a plus de fléchettes, Cupidon est bourré.</o:p><o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p>

 Il faut sécher les larmes à distances
Faire une trêve, et changer de chaîne
<o:p>Coeur hypothermique</o:p><o:p>
 </o:p>
 
 
 

 

 

 

 
 Autant se faire arakiri tout de suite

</o:p>

 

</o:p>

 

</o:p>

 </o:p>

</o:p>

 </o:p>

 

                                                          

 

 

 

 

 

 

Elisa fume des carottes en écoutant en boucle cette chanson :))

 

Dis mademoiselle, comment tu t'appelles ?

Demanda le crocodile à l'abeille.

 

Ca recommence !

<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

Il faut se faire une raison, mais voilà n'y a pas de raison.

 

 

 

<o:p> </o:p>

Il faut voir la vérité en face, je sais qu'il n'y a plus d'échappatoire autre que la folie (Elisa sur le plongeoir).

 

 

Dis monsieur, comment tu t'appelles ?

Demanda Léon le pigeon.

 

 

 

Prendre ses calmants. 1.2.3.8.10.16

Retour aux esprits.

 

 

Je disais quoi déjà, je profite de mes brefs instants de lucidité,

pour vous écrire mon témoignage, mon exorcisme.

 

 

Comment tu t'appelles ?

Somnambule répondit l'insomnie

 

 

 

Du soir où je l'ai vu, là, devant moi, de mes yeux grands ouverts, là à l'extrême de mon champ de vision,

il m'a obsédé, il a hanté mes rêves, mes cauchemars, mes délires, c'est glissé dans mes pensées.

<o:p> </o:p>

Moi simple spectatrice, noyée dans mon sommeil profond (Elisa entrain de couler),

je suis devenue malgré moi actrice des mes phantasmes diurnes.

 

 

 

Comment tu t'appelles

Deux, répondit la schizophrénie

 

 

On va prétendre que je suis folle, et ils n'auront pas tort :)

Mais voilà le peu de raison qui me reste :

 

 

 

J'AI VRAIMENT VU CE QUE JE N'AI PAS VU,

QUE J'AI VECU CE QUE JE N'AI PAS VECU

QUE J'AI VECU CE QUE J'AI VU

 

PS : Je ne peux vous décrire mes visions, de peur d'ensemencer votre esprit, hypothétique lecteur :)

 

 

Non, non retenez ma main

 

 

 

Comment tu t'appelles ?

Indicible peste psychique

 

 

 

Bon je vous raconte, non j'ose pas (Elisa très timide), bon je vous raconte,

non je peux pas, si, non, si, non, bon je raconte.

 

 

 

 

 

 

 

I repeat,

Eine Spinne.

Repito,

un ragno nel soffitto.

ripeto,

Elisa, una araña en el techo

 

Explosion de sentiments

<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

Berk !

<o:p> </o:p><o:p></o:p> <o:p></o:p> 

 

Ça y est j'ai flashé

<o:p> </o:p>

Tes yeux se moquent

 

 

<o:p> </o:p><o:p> </o:p>

C'est l'histoire d'une princesse, une souris en sommes

 

<o:p> </o:p>

Il m'aime un peu, beaucoup, à la folie, pas du tout

 

 

<o:p> </o:p><o:p></o:p> <o:p></o:p> <o:p> </o:p>Ben c'est qu' y a cette questionCette bombe à neutron<o:p> </o:p><o:p></o:p>   

Des fois c'est mieux de ne pas le dire. Tu ne crois pas ?

C'est quoi que c'est mieux que je dise pas<o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p> </o:p> 

 

 

Sentiments domestiques pour un piège optique<o:p> </o:p><o:p></o:p> <o:p></o:p> <o:p></o:p> <o:p></o:p> <o:p></o:p> 

 

 

 

Penses-tu la même chose que moi ?<o:p> </o:p><o:p></o:p> <o:p></o:p> <o:p></o:p> <o:p></o:p> 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

<o:p></o:p> <o:p></o:p> <o:p> </o:p>Je suis accro, c'est l'imposture