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A force de trop fumer de carottes on fait de drôles de rencontres

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Il y a quelques jours j'ai rencontré une charmante femme du blog, belle à croquer comme une carotte.

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Nous avons pris un verre, pas de jus de carotte,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Et paf !  arriva ce qui arriva.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La suite au prochain épisode

 

Mes biens chers frères et mes biens chères sœurs,

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Il ne me reste peu de temps

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A l'heure où je vous parle l'instant est très grave.

 

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La police est entrain de défoncer ma porte,

La voisine du dessous donne des coups dans le plafond (la musique doit être trop forte)

Sur le répondeur un message de mon père il a l'air en colère (les PV impayés  sont sûrement arrivés)

 

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Le pire dans tout ça je n'ai pas de carottes

Même pas de jolis bonbons roses,

Plus de corde pour faire un joli nœud,

Et  mon pistolet à eau ne marche plus.

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 Et encore plus,

 

 pas de road movie avec un baiser langoureux avec un prince

dans une superbe décapotable (je m'égare là).

 

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POUM Poum (ça c'est le bruit de la porte)

 

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Ils vont vraiment me la défoncer ma porte !

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Acceptez cette histoire en gage d'amitié, comme les derniers mots,

d'une amie légèrement déjantée,

qui fut heureuse de pouvoir servir la noble cause du rien et l'absurde à vos cotés.

 

 

 

 

<o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p></o:p> <o:p></o:p> AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!

 

Ils m'ont défoncé

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Ma porte :)

 

Les Citrouilles en horreur<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Elisa militante <o:p> </o:p>

Vive les carottes !

 

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Elles sont petites,

Elles ne sont pas rondes,

Elles rentrent partout,

Elles ne font pas le poids,

On ne s'écroule pas sous elle,

Elles donnent bonne mine,

On peut les peler, les mâcher,

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Elles ont bon goût,

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Crues ou cuites ça nous profite.

 

 

 

 

 

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Alors Halloween cette année sera « carotte » 

 

 

A mort les citrouilles ! Vive les carottes !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Ou les carottes seront râpées, tant pis pour les nones au couvent !

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La bolduc du jour

 

Légère et court vêtue, Elisa allait à grands pas

Rien ne sert de courir, il faut partir à point

Alors qu'elle faisait la belle dans le bois dormant,
Elisa croisa un loup, Fanfaron amateur de la chasse,
Qui courtisait 3 cochonnes.



Elisa de rouge vêtue, lui tint à peu près ce langage :

- Le fou a chanté dix-sept fois
Les yeux croisés sur son perchoir

Envieux, derrière un buisson un animal s'étend, et s'enfle, et se travaille, pour égaler l'animal en grosseur.


Par l'odeur alléché, Maître renard voulait lui aussi
Les apprivoiser.

- Venez donc tâter cette fourrure plus douce
On se fera des bécots dans les crocs.

Le lièvre voulant de même forniquer, parla tout essoufflé :

- laissez-le donc Mesdames à ses chicots
Et venez avec moi faire la position de l'escargot

Le renard s'en retourna  à son terrier
La queue basse comme un chien vexé

- A quoi vous sert votre vitesse ? Rétorqua un chat de toute beauté.

- Je vous promets une nuit d'enfer
10 sur l'échelle de Richter

Elisa curieuse, se mit à l'interroger
 Pourquoi vous purger après avoir brouté ?

 

Quand la bise fut venue,
Elisa se trouva fort dépourvue.

Mais devant elle bien droit et alléchant se dressait un beau pipeau
A peine l'avait-elle touché du bout des lèvres,

qu'elle s'évanouie aux milieu des badauds.

 

 

Voilà c'est fait, ça dégénère en partouze

 

Dans le feuillage plus de bavardage.
La forêt se faisait close

Elisa se fit voluptueuse,
Mais les cochonnes ne sont pas prêteuses.

 

<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p> </o:p>  L'amour nous rendra tous dingos.

 

 

 

Elisa les neurones attaqués